
Un homme a discuté avec moi, qui n’a jamais cru que la simple existence стиля. La gestion parle de l’existence de défauts dans la direction. Le style correct est celui que l’on ne remarque pas et qui, en fait, n’existe pas. Il me semble qu’en discutant avec lui, nous sommes parvenus à un consensus, cependant, un argument intéressant en faveur de la « style » a été avancé. On a dit que différents travaux nécessitent différents styles de gestion. Si tu gères des vendeurs, alors le style dont je parlais convient mieux au processus, mais si, par exemple, il s’agit d’un responsable d’entrepôt, il doit adopter un autre style. La motivation et l’alignement des objectifs personnels et des objectifs de l’entreprise sont clairs pour ceux qui ont un résultat direct, et non pour ceux qui exécutent des tâches procédurales ou qui peuvent voler sur leur lieu de travail.
J’ai alors supposé que, d’autant plus pour les personnes procédurales, il est important de faire ressortir leur motivation interne, et d’autant plus pour les personnes « sur la chaîne de production », il est nécessaire d’organiser le travail de manière à ce qu’il soit agréable. Il est également essentiel de les aider dans leur travail lorsque celui-ci ne produit pas d’effet direct et évident. Si nous avons un tel travail où, peu importe ce que fait le travailleur, il a toujours le même « Jour de la marmotte », c’est précisément dans ce type de travail que l’effet d’un style de gestion correct, « discret », sera le plus visible, une gestion non pas des personnes, mais des accords.
*J’ai parlé de coaching permanent, de retour d’information, du principe du « ici et maintenant », de l’établissement d’une confiance motivée plutôt que d’un système de contrôle total, de l’inutilité des punitions, etc.